Observatoires Photographiques du Paysage (OPP)

Observatoire photographique des paysages d’Auvergne

À l’occasion d’une révision de la politique régionale des sites protégés, et plus largement d’un état des lieux des paysages, l’ex-Diren Auvergne a confié à l’Observatoire photographique des territoires du Massif central (OPTMC) la mission de poser les bases de deux observatoires photographiques des paysages des départements de l’Allier, en 2005, et de la Haute-Loire, en 2009. Préalablement à leur travail de prise de vues, les photographes de l’OPTMC ont participé à deux voyages sur le terrain, de deux journées chacun, partagés avec une inspectrice des sites et les paysagistes en charge de la mission de révision. L’idée défendue par ceux-ci était de faire une expérience commune des paysages pour échanger in situ sur les pratiques et les attentes des uns et des autres, sur les objectifs de la mission photographique, la compréhension des paysages observés… pour se construire une culture commune des paysages à représenter. Guidé par l’étude des paysagistes et par l’expérience partagée des voyages, le travail photographique présente des aspects assez différents dans sa forme et son contenu d’un département à l’autre. Pour celui de la Haute-Loire, la procédure photographique retenue a été de produire des images au format panoramique traduisant une expérience des paysages récurrente dans ce département : points de vue et points de mire se répondent en permanence et constituent autant de points d’appel qui ont guidé en permanence les pas et les regards photographiques. Pour celui de l’Allier, il s’est agi d’insister sur des motifs très spécifiques, comme le bocage par exemple en traduisant son omniprésence mais aussi sa fragilité ou d’insister sur la place occupée par de grandes infrastructures (routières essentiellement mais aussi ferroviaires) qui organisent les paysages, guident le regard…, le tout dans un format paysage classique. Les images présentées sur le site sont une sélection opérée par les services de l’État au sein d’un corpus riche de plus du double.

D’autres photographies, donnant à voir des paysages des départements du Cantal et du Puy-de-Dôme, sont visibles sur le site. Elles ont été produites, au cours de l’année 2012, dans le cadre de la mission de conception et de réalisation de l’Atlas des Paysages d’Auvergne, commandé par l’ex-Diren Auvergne. Chacune est le résultat de l’agrégation de plusieurs images, faites d’un même point de vue puis assemblées pour obtenir le format panoramique souhaité. Ces photographies, représentant des paysages emblématiques des départements du Cantal et du Puy-de-Dôme, ne constituent qu’une petite partie du corpus réuni lors de cette mission.

Toutes les images présentes sur ce site constituent donc un état « zéro » photographique de quelques-uns des paysages de quatre départements de la région Auvergne - Rhône-Alpes. Elles feront l’objet de reconductions (ou réitération) dans les années à venir pour devenir des séries diachroniques témoignant des évolutions des paysages photographiés.

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Observatoire des paysages de la Chaîne des Puys - faille de Limagne

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Observatoire photographique du paysage sur le territoire de la Vallée de la chimie

2018, le CAUE Rhône Métropole a engagé un Observatoire photographique du paysage sur le territoire de la Vallée de la chimie en partenariat avec la Mission Métropole Vallée de la chimie et David Desaleux, photographe indépendant missionné par le CAUE Rhône Métropole aux côtés de Florent Perroud, architecte et photographe au CAUE Rhône Métropole.

L’observatoire photographique du paysage permet de suivre l’évolution des paysages au cours du temps, à travers la re-photographie successive d’un certain nombre de points de vue. Ainsi sont traqués les signes qui permettent de lire les évolutions du territoire et de mieux les comprendre. Le territoire de la Vallée de la chimie relevant à la fois du paysage industriel, urbain et naturel, concentre sur une petite surface de nombreux enjeux de notre société contemporaine.

Afin de proposer une observation partagée de ce territoire, cet Observatoire s’est mis en place en allant
à la rencontre des experts (thématiques et territoriaux), des acteurs locaux et des habitants.

En 2020 seront dévoilés les quarante points de vue sélectionnés parmi la centaine présentée aux habitants lors des trois étapes de l’itinérance de l’exposition et aux experts réunis en ateliers. Ces photographies seront reconduites au cours du temps afin de traquer les signes de l’évolution du territoire de la Vallée de la Chimie. Un Observatoire partagé pour des paysages à vivre.

Pour en savoir plus, visitez le site du CAUE Rhône Métropole.

Observatoire photographique des territoires du Massif central - A89

Sur le principe de la reconduction, l’OPTMC a réalisé entre 2000 et 2005 un observatoire photographique le long de l’A89.

Consultez le site le l’OPTMC pour découvrir l’observatoire photographique A89

Observatoire photographique des territoires du Massif central - N7

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Observatoire photographique des paysages de la forêt de Saoû (2011-2014)

Le Département de la Drôme, propriétaire depuis 2003 de ce site classé d’exception, a mis en place un Observatoire Photographique du Paysage (OPP) qui vise à analyser les mécanismes de transformations imperceptibles des paysages, ainsi que le rôle des différents acteurs.

Observatoire photographique des paysages du Pays voironnais

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Observatoire photographique des paysages de Neschers

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Observatoire photographique des paysages de Gergovie Val d’Allier

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Observatoire photographique des paysages de l’opération grand site La Combe d’Arc

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Observatoire photographique des paysages du parc naturel régional des Monts d’Ardèche

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Observatoire photographique des paysages des environs de Valence

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Observatoire photographique des paysages des territoires du Massif central

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Observatoire photographique des paysages du parc naturel régional Livradois-Forez

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Observatoire photographique des paysages de Vanoise

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Observatoire photographique des paysages du Pilat

Pour mettre en place l’Observatoire photographique des paysages du Pila, au début des années 90, t, Sophie Ristelhueber, photographe et plasticienne, est nommée pour porter un regard qui lui est propre sur le Pilat.
Depuis, chaque année, les 40 points d’observation sont rephotographiés par les architectes / paysagistes du Parc.

Après plus de 20 ans, des dynamiques pressenties se sont confirmées, d’autres, inattendues ou plus incongrues sont immortalisées par la photographie.
Loin de s’attacher à montrer, les « beaux paysages » et encore moins leur exhaustivité, l’observatoire prouve à quel point les paysages de notre quotidien sont des révélateurs de nos pratiques, des évolutions économiques de l’agriculture, de la forêt … ou encore de l’évolution de certains milieux naturels.

Visitez le site du PNR du Pilat pour découvrir l’OPP du Pilat

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